mercredi 3 octobre 2012

Stoppons la zoophilie en Allemagne !!!

Source : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stoppons-zoophilie-allemagne/9226

L'Allemagne autorise la zoophilie (relations sexuelles entre un être humain et un animal). Si vous ne partagez pas ce concept (ce que j'espère !) merci de signer cette pétition et de diffuser autour de vous...

Site pour signer la pétition :

http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stoppons-zoophilie-allemagne/9226


À l'attention de Tous

Le 25 septembre 2012, la SPA a publié un communiqué de presse s’opposant à l’absence de sanctions envers la zoophilie en Allemagne. La Société Protectrice des Animaux demande la création d’une législation interdisant les abus sexuels sur les animaux chez nos voisins teutons. Je soutiens cet appel, et vous invite à le soutenir vous aussi, en signant la présente pétition.

Nous sommes actuellement en train de nous rapprocher d'associations allemandes et européennes de protection animale afin de voir comment lutter efficacement contre ce vide juridique (la loi interdisant les abus sexuels sur les animaux en Allemagne a été abrogée le 1er septembre 1969 et n'a pas été remplacée depuis).


Nos premières investigations nous ont permis de découvrir des faits particulièrement dérangeants : outre-Rhin, ouvrent de plus en plus de « bordels animaliers ». La vente, la location ou le prêt d'un animal à des fins sexuelles est autorisée. De plus, il est permis en Allemagne de dresser et de conditionner les bébés animaux (chiots, chatons, etc.) pour leur faire accepter que de tels attouchements soient pratiqués sur eux. De là, il devient plus facile pour leurs tortionnaires d'affirmer qu'ils sont consentants...


L'hypocrisie va encore plus loin : alors que la loi allemande réprime les actes de cruauté commis envers les animaux, la zoophilie n’est pas entendue comme tel au motif qu’il n’est pas possible de prouver la cruauté d’un tel acte. Comment est-il possible de ne pas reconnaître les souffrances, psychologiques et physiques, d'un animal ainsi malmené, souffrances attestées par les vétérinaires allemands dans certaines de leurs études ? La France considère ces mêmes actions comme des délits réprimés par l’article 521-1 du Code Pénal qui prévoit des peines maximales de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.


Les seules condamnations qui ont été prononcées en Allemagne l’ont été au motif que l’acte a été filmé, car la zoopornographie est, elle, interdite dans les Länder (régions).


Dans le pays de Goethe, on trouve même une association de zoophiles qui s'assument, la Zeta, qui s'exprime publiquement en faveur des rapports sexuels entre humains et animaux « tant qu'ils sont sans violence », et qui défend ces actes comme un « droit »...


Les associations de protection des animaux allemandes n’ont cessé de se battre, condamnant la cruauté de tels agissements. Notre Association, qui n’est pas compétente pour intervenir juridiquement en Allemagne, va toutefois se rapprocher d’associations locales afin de leur apporter son soutien et d’étudier avec elles nos possibilités d’actions.


Il est bon de signaler que le problème a été inscrit à l’ordre du jour du conseil des ministres à Berlin, mercredi dernier, suite à une initiative de la chambre des régions (Bundesrat). Il faut espérer que les discussions qui en découleront mèneront à la création d'une législation interdisant de tels sévices.


Enfin, il est scandaleux que des pays européens, signataires de la Convention Européenne pour la protection des animaux de compagnie -entrée en vigueur le 1er Mai 1992-, puissent encore tolérer ces actes barbares sans être sanctionnés, alors qu’un article de ladite convention, ratifiée par l’Allemagne, précise clairement que « nul ne doit causer inutilement des douleurs, des souffrances ou de l’angoisse à un animal de compagnie ».

Je me joins à la SPA pour leur faire part de ma pétition, ainsi que de tout vos signatures et commentaires pour stopper cette horreur.


Il est en conséquence, plus que judicieux de faire le nécessaire afin de faire respecter cette Convention via le Gouvernement français. L’étude d’une uniformisation de la réglementation de l’Union Européenne est également primordiale.
Plus d'infos sur ce sujet : Cliquez ici

Signez et rejoignez les gens qui ont signé cette pétition.

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samedi 29 septembre 2012

Help us Stop the Irresponsible Killing


By this Sunday, most of Wyoming will be transformed into a free fire zone for wolves. We are leaving no stone unturned in our efforts to stop the killing before it begins.

Under current Wyoming state law, wolves in 85 percent of the state will be subject to unlimited and uncontrolled shooting, trapping and gassing starting at 12:01am September 30.

Please donate today -- your gift will help us keep up the fight to protect Wyoming wolves and other endangered wildlife.

Only weeks ago, Interior Secretary Salazar stripped Wyoming's wolves of Endangered Species Act (ESA) protection. It was pure politics. We have already served notice that we are filing a lawsuit against the federal government's removal of Endangered Species Act protection for Wyoming wolves.
But by the time our case is heard it will be too late for many of Wyoming's wolves, unless the State abandons its indefensible plan.
Up to 60 percent of Wyoming's wolf population could ultimately be wiped out.
The restoration of wolves in the lower 48 is one of the greatest success stories of the Endangered Species Act. The withdrawal of ESA protection and approval of an indefensible wolf management plan turns the clock back on decades of conservation progress.
We have already seen what can happen if the fate of wolves is turned over to states with extreme anti-wolf plans in place. The 2011 delisting of Idaho’s wolves was disastrous and deadly -- more than 400 of that state’s wolves were killed within the first year of delisting. And more than 100 of Montana’s wolves have met the same fate. Now Wyoming is poised to follow suit with an even worse wolf plan.

We need your support today to stop it.

No other animal has gone from protected wildlife to predatory “pest” status overnight -- until now. Under Wyoming’s plan, wolves that wander beyond the invisible border of the northwest corner of the state can be shot, gassed or trapped by anyone at any time. No license required. It’s open season on wolves, plain and simple.

No other animal -- not bears, not mountain lions -- are subject to the double standard that permits wolves across much of the state to be shot as vermin.
In only hours, Wyoming’s extreme wolf-killing plan will go into effect, and Defenders is calling on our supporters to shine the spotlight on this shameful management plan.  
Jamie Rappaport Clark
Sincerely,

Jamie Rappaport Clark
President
Defenders of Wildlife

lundi 24 septembre 2012

TESTS COSMÉTIQUES : MENACE SUR L'INTERDICTION

Source : http://www.gaia.be/fr/campagnes/petitions/tests-cosm-tiques-menace-sur-l-interdiction

Il nous avait fallu vingt années de combat pour qu'en 2003 soit adoptée par l’UE une interdiction partielle des tests sur les animaux effectués pour les produits cosmétiques, suivie par une interdiction totale à partir du 11 mars 2013, c.à.d. de tous les tests sur animaux pour l'industrie des produits cosmétiques commercialisés et leur mise sur le marché au sein de l'UE. Mais l'avenir de milliers d'animaux est aujourd'hui en danger. Un récent rapport officiel de la Commission européenne suggère de retarder de 10 ans cette interdiction totale. Instaurer une telle mesure signifierait que des lapins, des souris, des cochons d'Inde et des rats seraient soumis, jusqu'en 2023, à des expériences douloureuses, irritantes ou toxiques, puis sacrifiés par des sociétés commerciales pour des produits de beauté. Alerte ! L’interdiction des tests sur les animaux est menacée. Soutenez la nouvelle campagne de GAIA et de la Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale (ECEAE) « No Cruel Cosmetics »

MERCI DE SIGNER ET DE TRANSMETTRE A VOS CONTACTS !

Pol

mercredi 19 septembre 2012

PROTECTION DES LOUPS - STOP THE WAR ON WOLVES

Source : http://www.petitions24.net/v/9984945/7W3HQM


6 septembre 2012: Une louve abattue dans le massif des Monges.

Cette nouvelle atteinte à la protection des loups n’est pas acceptable.
Le loup est mal jugé et n'est pas une menace pour l'homme.

Le Loup, comme tout superprédateur, joue un rôle fondamental et unique au sein des écosystèmes.

Le loup contribue au maintien de la biodiversité.
Son rôle écologique est primordial d’où l’importance de le préserver.
Si le loup venait à disparaître, cela entraînerait des impacts négatifs sur d’autres animeaux indispensables à l’écosystème
mais aussi sur la végétation.
Pour la survie de cette planète que nous partageons, et le maintien de l'équilibre écologique, des mesures doivent être prises
d'urgence pour protéger les loups, et préserver leur environnement.

Merci de soutenir mon action. L'union sera notre force. A mes côtés faiites entendre la voix de votre révolte et de votre indignation.
Amicalement,
Jeanne Mas
Ma lettre à la Ministre de l'écologie Delphine Batho. http://www.jeannemas.com/#!protection-des-loups/c1w4l

English version.
Please help us to STOP THE WAR ON WOLVES.

WOLVES are NOT dangerous to PEOPLE.

These are desperate times for wolves, and they call for swift, powerful action.

The disappearance of species such as the wolf has led to international concern and cries for protection.

CONVINCED of the importance of the conservation, protection and enhancement of the environment in their territories and the essential role of cooperation in achieving a healthy and complete ecosystem for the well-being of present and future generations of all species and,

RECOGNIZING that wild animals, including the wolf, are an irreplaceable part of the earth's natural system,
We demand:

The RESTORATION and PROTECTION of wolves in America and in Europe.

Please help our action and save wolves. Write down your name and email address, then you’ll receive an email to confirm your signature. Your email address and name will be protected

Thank you.
Jeanne Mas

dimanche 16 septembre 2012

PETITION: We want the French, Mexican and United States Governments to increase the penalty for anyone using live animals as bait. Together we WILL put an end to this!


Source : http://www.causes.com/actions/1679274?recruiter_id=182323084&utm_campaign=invite&utm_medium=wall&utm_source=fb


To: The French, Mexican and United States Governments

We have to stop this PLEASE help!

French Islanders using live puppies and kittens as shark bait??

Please stop this senseless abuse to innocent puppies and kittens. French Islander, Mexican and yes American fishermen and hunters are using LIVE puppies and kittens as shark and alligator bait!!...See More

Thanks for signing the petition.

Can you help us reach our goal of 999,000 signatures?
Invite Friends
Because this is horrendous and hideous. Can you imagine the fear these animals must be in the last minutes of their lives? No living being deserves to be treated and used this way. These are private fishermen and the penalty is ONLY 2 years and a monetary fine of a little over $5,000 USD, we want the penalty to be stiffened to deter this horrific crime to 10 years in prison (no parole) and $100,000 fine.

Here is a video (it is in French) that shows the dog pictured is REAL, that this crime is real and it must be stopped worldwide. Please join this cause together we WILL put an end to using live animals as bait WORLDWIDE!
http://www.30millionsdamis.fr/acces-special/web-tv/agir/jugement-a-la-reunion.html

vendredi 14 septembre 2012

Le Loup et José Bové

Voici ce qu'avait dit José Bové le 18/07/2012 sur :

http://www.radio-totem.net/actualite/journal/all/article-60149-loup-en-lozere-la-position-de-jose-bove/?page=&filtre=

Vous pouvez y écouter son intervention et enregistrer le fichier audio. Ses propos sont on ne peut plus clairs !

A comparer avec l'article paru sur le page "Loup"

Chacun en pensera ce qu'il voudra.



jeudi 13 septembre 2012

Sentience des animaux : Sensibilité et conscience des animaux sauvages


Source : http://www.one-voice.fr/sentience/sentience-des-animaux-sensibilite-et-conscience-des-animaux-sauvages/

Sentience des animaux : Sensibilité et conscience des animaux sauvages

Qu’ils soient grands singes, éléphants ou même oiseaux, les animaux sauvages sont doués d’une intelligence restée longtemps méconnue. Chaque nouvelle découverte scientifique vient brouiller un peu plus la frontière factice que certains ont tenté de tracer entre les humains et le règne animal. Bientôt, il faudra accepter d’y faire face et remettre en question nos pratiques – souvent discutables – qui leurs causent tant de souffrance…
Une évasion réfléchie
Une anecdote concernant les grands singes suggère cette conclusion : « Si l’on donne un tournevis à un chimpanzé, il le lancera à quelqu’un. Si l’on donne un tournevis à un gorille, il se grattera avec. Mais si l’on donne un tournevis à un orang-outan, il se libérera de sa cage. »
Dans un zoo australien, en mai 2009, une femelle orang-outan de 27 ans nommée Karta s’est évadée de son enclos en faisant preuve d’une ingéniosité remarquable. Karta a provoqué un court-circuit dans la clôture électrique en tordant les fils à l’aide d’un bâton, puis elle a entassé des débris et des branchages pour pouvoir grimper sur un mur de béton et de verre. Le zoo a été évacué et les gardiens, armés de fusils à cartouches anesthésiantes, se sont préparés à lui tirer dessus. Mais après avoir goûté à un moment de liberté, Karta a pris un air penaud, comme si elle savait qu’elle avait fait quelque chose de mal, et elle est retournée dans son enclos.
Pour le responsable du zoo, Paul Whitehead, l’évasion de Karta est la preuve de son intelligence : elle « a souvent essayé d’être plus maline [que nous] et elle a obligé de nombreux gardiens à effectuer des heures supplémentaires ». Il ajoute que son enclos aurait maintenant besoin d’être « élagué » !
La fabrication d’outils à l’état sauvage
Les responsables des zoos s’efforcent de recréer au sein des enclos un habitat naturel et attrayant pour des animaux comme Karta. Mais il est difficile de satisfaire les besoins d’individus ayant des facultés cognitives aussi développées.
À Sumatra, les orangs-outans à l’état sauvage ont l’habitude d’utiliser des outils pour des raisons variées : ils cassent un rameau, en ôtent les brindilles sur toute sa longueur, en effilent l’extrémité et l’enfoncent dans les termitières pour en retirer le contenu. Ils se servent aussi de bâtons pour récolter du miel ou pour ôter les fibres rêches autour d’un fruit avant de le manger. Dans les zoos, on voit souvent les gorilles utiliser des outils, notamment des bâtons, pour atteindre ou récolter quelque chose. Ils s’en servent aussi comme armes. Ils mâchonnent des feuilles pour en faire des éponges et se servent de gros bâtons comme de barreaux d’échelle. Les chimpanzés se servent même d’armes quand ils chassent des petits mammifères.
La fabrication d’outils était autrefois considérée comme une caractéristique humaine. Mais plusieurs espèces fabriquent des outils, notamment les corbeaux de Nouvelle-Calédonie. Une étude publiée en mai 2009 dans les comptes-rendus de la revue de l’Académie nationale des Sciences américaine rend compte d’observations concernant quatre corbeaux freux maintenus en captivité à l’université de Cambridge. Ces corbeaux ont confectionné des crochets pour attraper des vers dans un tube. Ils ont aussi su choisir des cailloux ayant une taille adaptée pour passer à travers des tuyaux de diamètres variés et faire ainsi basculer une plate-forme libérant de la nourriture. L’auteur principal de cette étude, Christopher Bird, a déclaré : « Nous avons constaté qu’ils étaient capables de choisir parmi une diversité d’outils ceux qui étaient les plus appropriés et qu’ils faisaient preuve de souplesse dans les types d’outils utilisés (1). »
Alex Kacelnik, professeur d’écologie comportementale à l’université d’Oxford a mené des recherches sur l’utilisation des outils chez les corbeaux de Nouvelle-Calédonie. Selon lui, le fait que l’on observe ce type de comportement exceptionnel chez des oiseaux est révélateur. « Cela signifie que l’évolution peut inventer plus d’une fois des formes similaires d’intelligence poussée : ce n’est pas une chose réservée aux seuls primates ni aux seuls mammifères. »
portrait d'un corbeau (photo 1)
Joie et peine
Des études scientifiques ont également montré que les animaux éprouvaient des émotions, y compris celles auparavant considérées comme exclusivement humaines telles que la joie, l’amour et la peine. Joyce Poole, spécialiste des éléphants, a fait état d’une mère ayant perdu son nouveau-né : « En observant la façon dont Tonie veillait sur son nouveau-né mort, j’ai eu pour la première fois la conviction que les éléphants pleuraient. Je n’oublierai jamais l’expression de son visage, ses yeux, sa bouche, la position de ses oreilles et de sa tête et sa posture. Tout, en elle, indiquait le chagrin. »
Selon Poole, « il est difficile d’observer le comportement remarquable des éléphants » lors de retrouvailles en famille, d’une naissance ou d’un accouplement « sans imaginer qu’ils éprouvent des émotions très marquées qu’on ne saurait mieux qualifier qu’en utilisant les termes de joie, de bonheur, d’amour, d’amitié, d’exubérance, d’amusement, de plaisir, de compassion, de soulagement et de respect. »
En août 2008, le chagrin de Gana, une femelle gorille du zoo de Münster, en Allemagne, a tiré des larmes au public. Son fils âgé de trois mois, Claudio, est mort dans ses bras. Pendant des heures, Gana l’a porté, l’a bercé et lui a donné des petits coups, peut-être dans l’espoir de pouvoir redonner du mouvement à sa tête pendante et à ses bras ballants. Une Britannique a écrit ce commentaire en ligne : « D’une mère endeuillée à une autre : Gana, tu es dans mes pensées. Mon petit garçon est mort en juin dernier et c’est une chose qu’on ne pourrait souhaiter à aucune forme de vie. »
Comprendre un langage et s’en servir
Des éléments probants indiquent que dans leur utilisation de symboles pour communiquer, les animaux montrent une réelle compréhension. Koko, une femelle gorille élevée en captivité, a appris des milliers de mots anglais. Elle a le niveau mental d’un enfant de trois ans. Koko a obtenu 70-95 à des tests de QI conçus pour les enfants humains et s’est montrée capable d’inventer de nouveaux signes pour dire par exemple « mordre », « chatouiller » ou « stéthoscope ». Elle est capable de dire quels sont les mots qui riment ensemble. Elle comprend l’ordre des mots lorsque cet ordre est indispensable à la compréhension de la phrase, et elle est capable de décrire ses propres émotions : un jour, ayant mordu quelqu’un, elle a semblé s’excuser en formant par signes les messages « mal mal » et « désolée mordre égratignure » (2) .
Alex, un perroquet gris du Gabon (3) auquel Irene Pepperberg a consacré ses travaux pendant trente ans, savait distinguer et utiliser des catégories de matériaux, des couleurs, des formes et des nombres. Quand on lui montrait deux nouveaux objets, il était capable d’indiquer lesquelles de leurs propriétés étaient semblables ou différentes (p.ex. la couleur, la forme, la matière). Selon Irene Pepperberg, les capacités émotionnelles d’un perroquet gris seraient celles d’un enfant humain de deux ans et demi, et ses capacités cognitives celles d’un enfant de cinq ans, un fait important à prendre en compte avant d’en acheter comme animal de compagnie car selon elle, « c’est comme acheter un petit enfant »…
portrait d'un perroquet (photo 2)
La tromperie chez les animaux
Le recours à la tromperie chez les animaux est la preuve qu’ils ont conscience d’eux-mêmes et du fait que les autres animaux puissent croire et avoir des intentions. Frans de Waal, professeur de psychologie à l’Université d’Emory à Atlanta, aux États-Unis, a décrit dans ses ouvrages Chimpanzee Politics et Good-Natured la façon dont les grands singes usaient de tromperie entre eux en changeant d’expression faciale, en faisant celui qui ne remarque rien quand un autre individu met leurs nerfs à l’épreuve en tentant de les intimider, ou en dissimulant une relation sexuelle à l’approche d’un mâle dominant. Les chimpanzés recourent aussi à la tromperie vis-à-vis d’un rival quand une agression n’a pas réussi, en simulant une attitude bienveillante, en faisant des gestes de conciliation puis en mordant leur victime avec férocité une fois qu’elle est à leur portée.
La moralité chez les animaux
Les travaux de Frans de Waal ont aussi mis récemment en évidence le fait que certains animaux comprennent la notion d’équité. Après avoir réussi des tâches simples, des singes et des grands singes ont reçu des récompenses constituées de quantités de nourriture variées. Ils ont protesté avec force à chaque fois que d’autres étaient mieux récompensés qu’eux pour avoir réussi les mêmes tâches. À maintes reprises, les singes défavorisés ont boudé et ont refusé de participer plus longtemps aux expériences…
D’autres travaux ont mis en évidence des exemples de comportement altruiste chez les chimpanzés. Ces derniers sont capables d’aider des humains et de s’entraider spontanément, même en l’absence de toute récompense. D’autres travaux ont montré que les primates se souvenaient des individus qui les avaient bien traités et qu’ils s’efforçaient de le leur rendre.
« Je n’affirme pas que les primates non humains sont de
s êtres moraux, explique De Waal, mais on a suffisamment de preuves que d’autres espèces que la nôtre adhèrent à des règles sociales pour pouvoir admettre que certains éléments constitutifs de la moralité humaine sont présents chez eux.
Des êtres sensibles dont l’exploitation par les humains pose un problème
Le fait que la science nous apporte sans cesse de nouvelles informations sur les espèces non humaines devrait être lourd de conséquences sur la manière dont les humains les traitent. Peut-on garder ces espèces – des êtres sensibles qui pensent, qui sentent et qui, dans une plus ou moins large mesure, ont des émotions semblables aux nôtres – en captivité dans des zoos et dans des laboratoires ?
Comme l’explique Eleonor Boyle dans une étude sur les neurosciences et la sensibilité des animaux publiée en 2009, « paradoxalement, un certain nombre de travaux démontrant que les animaux sont sensibles et conscients ont été réalisés en utilisant des animaux en captivité, entre autres des primates. Les résultats de ces travaux soulèvent des questions concernant l’exploitation des animaux par les humains, dans la recherche comme dans d’autres domaines tels que l’agriculture. Les conclusions auxquelles on parvient suggèrent le besoin de trouver des méthodes scientifiques qui ne soient pas autant dépendantes de l’utilisation de sujets animaux et soulignent la nécessité d’une attention accrue à la sensibilité des animaux (4) . »
AGIR
Pour nous aider à alerter le public quant au sort des animaux et initier un changement de comportement à leur égard, vous pouvez commander et diffuser autour de vous nos cartes sur la Sentience des animaux.
Gorille allongé dans lajungle (photo 1)

(1) Voir la vidéo à l’adresse: http://www.admin.cam.ac.uk/news/dp/2009052603
(2) Voir : www.koko.org
(3) Alex est mort en 2007, à l’âge de 31 ans. www.alexfoundation.org
(4) Boyle, E. (2009) Neuroscience and Animal Sentience www.animalsentience.com


1/ Comprendre la sentience des animaux
2/ La sentience des animaux : des invertébrés aux vertébrés
3/ La sentience des animaux de ferme
4/ La sentience des animaux sauvages

mercredi 12 septembre 2012

Prominent scientists sign declaration that animals have conscious awareness, just like us


Source : http://io9.com/5937356/prominent-scientists-sign-declaration-that-animals-have-conscious-awareness-just-like-us

samedi 26 mai 2012

«Les vaches nous comprennent mieux que nous les comprenons»

Source : http://www.liberation.fr/livres/2012/05/21/dialoguez-avec-la-philosophe-vinciane-despret_820242


«Les vaches nous comprennent mieux que nous les comprenons»

(Mis à jour: )


La philosophe Vinciane Despret est l’auteure de plusieurs ouvrages sur la question animale, son livre Que diraient les animaux, si... on leur posait les bonnes questions (la Découverte), remet en cause nos idées reçues sur ce que veulent et «pensent» les animaux. Elle a répondu à vos questions.
Helen. Comment prépare-t-on un livre comme celui-ci ? Sur quoi s’appuie-t-il ? Des interviews ? des articles? Suivez-vous des travaux de recherches ?
Vinciane Despret. Oui, bien sûr, cela fait vingt ans que je travaille sur la question de l’animal. J’avais commencé en 1990-91 à étudier l’altruisme chez les oiseaux. Ensuite, j'ai suivi un éthologiste sur le terrain, et j’ai pu observer à la fois ses oiseaux, et la manière dont lui-même interrogeait ses oiseaux. A partir de là, je me suis de plus en plus intéressée à la pratique.
A partir du moment où l’on s’intéresse à la pratique, même si je ne fais plus terrain, ou peu, quand on lit un article scientifique, la première question qu’on pose, c’est : comme l'éthologiste scientifique a-t-il fait ? Quelles questions a-t-il posées ? A-t-il enfermé son animal ? Est-ce qu’il s’est demandé quelles questions l’animal se pose ? Est-ce que cet animal est plus intéressant après le travail du scientifique ou pas ? Qu’est-ce qui fait que le scientifique a réussi à le rendre plus intéressant ? Voilà comment je travaille depuis vingt ans.
Petite Bardot. Avez-vous été surprise par certains animaux au cours de vos travaux ? Aviez-vous des a priori sur l’intelligence de certains d’entre eux, qui auraient été démentis ?
V. D. Oui, absolument. D’abord, j’ai été très surprise par l’intelligence des oiseaux, notamment avec ceux que je suis allée étudier avec un éthologiste sur le terrain, lors de mon premier voyage dans le désert, en Israël. Et puis, les surprises n’ont pas cessé d’advenir. C’est à cela que je reconnais les éthologistes que j’aime. La surprise la plus importante a été de découvrir à quel point les animaux d'élevage étaient intelligents, au cours d'une enquête menée auprès des éleveurs avec ma collègue Jocelyne Porcher.
 J’avais, comme beaucoup de monde, si ce n’est des préjugés quant à l’intelligence des animaux d'élevage, du moins très peu de connaissances. En écoutant les éleveurs, on entend des choses absolument surprenantes, comme : les vaches nous comprennent mieux que nous les comprenons. On entend des histoires et des anecdotes qui montrent à quel point ces animaux connaissent bien les humains, et font quantité de choses entre eux, et avec eux. Je ne crois que cela a été la surprise la plus importante.
Par exemple, à propos des vaches, je prends le témoignage d’une éleveuse qui raconte qu’un jour, une de ses vaches était en difficulté, et qu’elle ne le savait pas, la prairie était très grande. Les autres vaches sont venues la chercher et l’ont conduite à la vache en difficulté.
Autremonde. On attribue souvent aux animaux domestiques des attitudes ou des postures «humaines», qu’en est-il  ?
V. D. Oui, on a parfaitement raison de le faire, dans certaines limites. Et on a raison de le faire parce qu’ils adoptent des postures humaines. Les chiens ont appris à suivre le regard des gens, ce qui est très humain, parce qu’ils ont vécu depuis des milliers d’années avec des gens qui parlent avec leurs yeux. Ce que les loups ne font pas.
Une autre raison, c’est une forme de malentendu. Comme tout malentendu, c’est toujours dangereux, et on peut en payer le prix, mais il y a des malentendus qui, en quelque sorte, deviennent vrais.
Je m’explique : quand un enfant apprend à parler, les premiers sons qu’il va proférer vont généralement être compris par les parents comme des sons intentionnels... C’est un malentendu. Mais c’est un malentendu qui a des conséquences heureuses, car c’est grâce à ce malentendu que l’enfant va pouvoir apprendre à parler. Si les sons que l’enfant émet ne reçoivent pas de réponses, l’enfant n’apprendrait pas. Un bon malentendu, c’est un malentendu sur lequel on peut s’accorder. Et il y a échec quand on ne s’accorde pas.
Jacques. Sait-on ce que nos plus proches cousins - les primates - pensent des hommes, des recherches ont-elles été faites sur ce sujet ?
V. D. Il y a des chercheurs qui se sont posé la question. Je vais vous répondre par deux anecdotes. Je prends un premier exemple : Heinz Kummer a essayé de s’approcher des babouins qu’il observait, les babouins le fuyaient. Après des mois et des mois d'échec, il s’est enfin posé la question : comment nous jugent-ils ? C’est en répondant à cette question qu’il a réussi à s’approcher. Exemple : être trop discret. Pour les babouins, quelqu’un qui se cache, c’est quelqu’un qui prépare un coup en douce. C’est un des jugements qu’il a pu élaborer.
On peut compléter par un deuxième exemple, celui de Barbara Smuts : au début de son observation des babouins, elle voulait aussi être très discrète, c’est ce qu’on lui avait appris à faire, «tu dois faire comme si tu n'étais pas là». Ça ne marchait pas, elle n’arrivait pas à approcher les babouins. Après des mois, un jour, elle a compris. Elle venait sur le terrain pour se poser la question : est-ce que les babouins sont des êtres sociaux ? Mais les babouins se posaient la même question à propos d’elle. Ils répondaient : «non, ce n’est pas un être social, puisqu’elle ne rend pas les regards», car elle faisait comme si elle était invisible. C’est seulement à partir du moment où elle a compris cela, qu’elle a accepté qu’elle ne devait pas être neutre, qu'elle a pu s'approcher.
Un autre exemple, qui montre que certains chercheurs se posent toujours ces questions : Shirley Strum se demandant : «Est-ce que je peux aller faire pipi devant mes babouins, ou est-ce que je dois aller me cacher ?» Elle a fini par se résoudre à le faire, et les babouins ont manifesté qu’ils ont compris qu’elle était un être vivant comme eux, semblable à eux. Mais le fait même qu’elle se pose la question : Est-ce que je peux ? Ça signifie qu’elle se demandait comment les babouins la jugeaient, et que c'était important pour elle.
Petite Bardot. Les animaux ressentent-ils des sensations comme le désir, l’appétit, la colère ?
V. D. Le mot «animal» désigne une abstraction, c’est-à-dire une catégorie non-humaine. Je me demande s’il n’y a pas plus de rapport entre un chimpanzé et un homme, qu’entre une tique et un chimpanzé. On ne peut pas dire «les animaux ressentent-ils ça ou ça ?»  En revanche, on peut dire «tel animal, visiblement, le fait». C’est du cas par cas. Mais il y a des animaux, en effet, qui ressentent du désir et de la colère. Mais dire d’une fourmi qu’elle est en colère, j’hésiterais.
Martin. Pourquoi la communication entre les humains et les animaux est-elle si difficile ?

V. D. Parce que l’on est quand même très différent. Par exemple, nous ne vivons pas dans des mondes tout à fait similaires. Comment pourrions-nous comprendre ce qu’est un monde d’odeurs ? Comment un chien nous perçoit-il ? Quand on sait que des tas de choses que nous ne percevons pas et que nous émettons sont bel et bien perçues par lui.
Inversement, nous sommes des êtres très visuels, et ce que nous cherchons chez les animaux c’est ce que nous voyons. Alors que la manière dont eux expriment les choses échappe à ce registre-là.
Bardot. Certains animaux sont ils plus intelligents que l’homme ?
V. D. C’est une très jolie question. Pourquoi ? Parce qu’elle nous oblige à poser une question, et pour moi une question qui oblige à poser d’autres questions, et à nous remettre en question, ce n’est pas tellement la réponse qui importe, mais la mise au travail. Qu’est-ce qui nous met au travail ?
Que veut dire être intelligent ? Est-ce que nous choisissons le critère d’intelligence qui nous caractérise, par exemple, une intelligence basée sur le langage, sur la catégorisation, etc... Forcément, nous serons les plus intelligents, parce que nous aurons choisi les critères dans lesquels nous excellons, et qui nous ont aidés à définir l’intelligence.
Mais si on choisit une autre définition de l’intelligence. Si on dit, par exemple : «Etre intelligent, c’est être capable d'être très attentif aux autres, de se laisser influencer par eux». Ce n’est plus, évidemment, tout à fait dans nos critères. Je parle ici de nos critères contemporains et occidentaux. Qui ne seraient pas, probablement, les critères d’autres cultures. Si on choisit ce critère-là, «être attentif aux autres», je me demande si un cochon ou un chien ne sont pas plus intelligents que moi. Et si l’intelligence consiste à lire des odeurs, ou à composer avec les vents, ou à sentir le magnétisme, je crois que d’autres espèces sont plus intelligentes que nous.

vendredi 11 mai 2012

(Re)découvrir Krishnamurti

Krishnamurti était inclassifiable vu qu'il rejetait toute forme de système.


Il est décédé le 17 février 1986 mais il serait grandement temps que ce grand Monsieur fasse son apparition dans nos écoles et que les adultes le (re)découvrent.


Voici un de ses textes




‎"Cet immense chaos, cet immense désordre qui règne dans le monde entier met en danger toute forme de vie. 

Il gagne du terrain de toutes parts. Les scientifiques, les hommes politiques, les philosophes, les psychanalystes, les gourous n'ont pas résolus les problèmes qui nous assaillent en tant qu'être humain : ils ont émis toute sorte de théories mais n'ont pas résolu les problèmes. 

Personne ne le fera à notre place : c'est à nous qu'il incombe de résoudre nous-même ces problèmes, parce que c'est nous qui en sommes la cause. 

Mais malheureusement nous avons pas envie de regarder de près nos propres problèmes, de les creuser et de découvrir pourquoi nous vivons en égoïste obnubilé par notre propre ego."

Krishnamurti

Arrêtez le massacre à la tronçonneuse en Amazonie

Chères amies, chers amis, 



Le Congrès brésilien vient de faire passer une loi qui donne carte blanche aux exploitants forestiers et agricoles pour raser d'immenses étendues de forêt vierge en Amazonie. Seule la présidente Dilma peut mettre son veto. Si la pression monte déjà dans le pays, une énorme mobilisation mondiale montrera à Dilma que sa réputation sur la scène internationale est en jeu. Persuadons-la d'arrêter le massacre à la tronçonneuse en Amazonie -- signez la pétition urgente et envoyez-la à tous vos contacts:

Signez la pétition
Le Congrès brésilien vient de voter un effroyable article du code forestier qui donne carte blanche aux exploitants forestiers et agricoles pour raser d'immenses étendues de forêt vierge en Amazonie. Désormais, seule la présidente Dilma Rousseff peut enterrer cette loi.

Heureusement, dans quelques semaines, Dilma accueillera le plus grand sommet mondial sur l'environnement, et des experts affirment qu'elle ne peut décemment pas l'inaugurer en tant que la chef d'Etat qui aura signé l'arrêt de mort de la forêt vierge. Elle est d'ores et déjà confrontée à une pression grandissante des Brésiliens, qui sont 79% à rejeter la loi. Une énorme mobilisation mondiale peut convaincre Dilma d'abandonner cette loi, et non la forêt tropicale.

Dilma pourrait se décider à tout moment. Persuadons-la d'opposer son veto dès aujourd'hui. Cliquez ci-dessous pour signer la pétition urgente visant à stopper le massacre à la tronçonneuse en Amazonie -- et envoyez-la à tous vos contacts:

http://www.avaaz.org/fr/veto_dilma_global_fr/?vl

L'Amazonie est le poumon de la vie sur Terre -- 20% de notre oxygène provient de cette magnifique forêt vierge, qui joue un rôle-clé en atténuant le changement climatique. Sur la dernière décennie, le Brésil a considérablement limité le déboisement, qui a diminué de 78% entre 2004 et 2011. Grâce à quoi? Un code forestier réputé mondialement, une application rigoureuse de la loi et la surveillance par satellite.

Or cette loi criminelle ouvrirait la voie à l'abattage d'arbres sur une zone aussi grande que la France et la Grande-Bretagne réunies tout en blanchissant les exploitants de toutes leurs activités criminelles passées de déforestation. Non seulement les forêts brésiliennes se transformeraient en paysages de désolation, mais cela créerait un précédent mondial néfaste. Il est vital que nous protégions l'Amazonie.

Le Brésil se développe rapidement et se bat pour sortir des dizaines de millions de gens de la pauvreté. Bien qu'il ait été prouvé que la déforestation n'a pas d'impact sur la croissance, le puissant lobby agricole qui a aidé Dilma à accéder au pouvoir exerce, dans un but lucratif, de fortes pressions pour qu'elle rase la forêt vierge. Et cette bataille n'est pas belle à voir -- les militants locaux se font assassiner, intimider ou réduire au silence. Pourtant, d'anciens ministres de l'environnement et le peuple brésilien ont fait clairement comprendre qu'ils veulent sauver l'Amazonie. À nous de les soutenir maintenant et d'exhorter la présidente Dilma à résister aux pressions.

Le destin des forêts tropicales du Brésil ne tient qu'à un fil. Heureusement, Dilma Rousseff est particulièrement vulnérable à la pression citoyenne en ce moment, et une mobilisation mondiale nous permettrait de remporter une victoire pour la planète! Signez la pétition urgente ci-dessous et faites passer le mot -- d'anciens ministres de l'environnement remettront la pétition en mains propres à Dilma:

http://www.avaaz.org/fr/veto_dilma_global_fr/?vl

Au cours des trois dernières années, nous avons enchaîné les victoires contre vents et marées. Unissons nos voix de nouveau avant qu'il ne soit trop tard pour stopper la destruction de l'Amazonie, protéger notre planète et ériger Dilma en figure de proue de la défense de l'environnement sur la scène internationale.

Avec espoir et détermination,

Luis, Pedro, Maria Paz, Alice, Ricken, Carol, Lisa, Rewan et toute l'équipe d'Avaaz

PLUS D'INFORMATIONS:

Brésil: la réforme du code forestier menace la forêt amazonienne (Novethic) http://www.novethic.fr/novethic/ecologie,ressources_naturelles,bois,bresil_reforme_code_forestier_menace_foret_amazonienne,137239.jsp

Amazonie: les déboisements ont presque triplé au 1er trimestre 2012 (20 Minutes) http://www.20minutes.fr/article/912121/amazonie-deboisements-presque-triple-1er-trimestre-2012

Au Brésil, la Commission pastorale de la Terre souligne la hausse des violences en milieu rural (La Croix) http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Monde/Au-Bresil-la-Commission-pastorale-de-la-Terre-souligne-la-hausse-des-violences-en-milieu-rural-_NP_-2012-05-09-804042

Les Brésiliens refusent le démantèlement du code forestier (WWF - en anglais) http://wwf.panda.org/?uNewsID=200698


jeudi 10 mai 2012

Mettons fin a la souffrance animale


MesOpinions.comJeudi 10 mai 2012

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 Contre la souffrance animale !

Halte aux porte-clés vivants en Chine
Pétition : Halte aux porte-clés vivants en Chine !

(480 signatures)
"La nouvelle mode en Chine : des porte-clés vivants ! Des sachets scellés avec une tortue vivante à l'intérieur, des poissons rouges ou des lézards qui sont vendus en guise de porte-clefs en Chine ! Par cette pétition je demande l'arrêt total de cette vente monstrueuse !" 

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Non à la torture animale au nom de l'Art

Pétition : Non à la torture animale au nom de l'Art !

(1.055 signatures)
" Deux étudiants de Berlin ont construit une guillotine qu’ils utiliseront pour couper la tête d’un mouton si le public le décide. Ils ont en effet créé un site internet où tout le monde peut voter "Ja" pour la mort de la bête, "Nein", contre. Je demande aux écoles d'art d'interdire formellement l'acte de cruauté envers les animaux soit disant pour l'art."
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 Bientôt deux victoires ?

chats
Pétition : Contre le massacre des chats de l'Hôpital Saint-Quentin

(16.400 signatures)
"Pour financer les stérilisations l'association a une petite trésorerie. La SPA et 30millions d'amis ont aussi annoncé qu'ils pourraient participer financièrement. Dans les prochains jours, une énième réunion est prévue avec la Direction de l'hôpital et les pro-stérilisation, toujours afin de trouver une solution à ce casse-tête félin." 

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Lire la victoire

Pétition : Halte au massacre des phoques au Canada !

(5.200 signatures)
"Nous arrivons peut-être au bout de notre combat. La Russie qui importait 95% des fourrures de phoques a cessé l'importation. Dans le même temps un sénateur canadien a présenté un projet de loi visant à mettre un terme à l'abattage commercial des phoques au Canada ! Continuons à signer pour soutenir ce combat ! " 
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 Sondage !
sondage les animaux du cirqueÊtes-vous pour ou contre les cirques avec animaux ?
1- Pour
2 - Contre
3 - Sans opinion 

lundi 23 janvier 2012

Un enfant de 12 ans abattu par un chasseur

Un enfant de 12 ans abattu par un chasseur

Source : http://www.aspas-nature.org/content/view/486/61/lang,fr/

23-01-2012

Hier, lors d’une sortie en quad avec son père, un enfant de 12 ans est mort, touché en pleine tempe par la balle d’un chasseur. Ce jeune garçon est le troisième non chasseur victime de l’insécurité liée à ce « loisir ». L’ASPAS, qui réclame une trêve de la chasse le dimanche, attend une réaction immédiate du Gouvernement.

C’est toute une famille qui est brisée, une fois de plus. Ce drame n’est pas un cas isolé, puisque d’autres accidents de chasse ayant entraîné la mort d’un enfant ont déjà été recensés les années précédentes. En France, la chasse n’est pas seulement une activité terriblement dangereuse pour ses pratiquants (plusieurs dizaines de morts chaque année, des centaines de blessés), elle l’est également pour tous les usagers de la nature (promeneurs, cueilleurs de champignons, cavaliers, naturalistes,…).

Cette source d’insécurité permanente se pratique avec des armes à feu puissantes, dans des espaces ouverts à tous, et les rares mesures de sécurité mises en place par les chasseurs (signalisation, gilets fluorescents) ne suffisent donc pas à garantir la sécurité des citoyens.

Les accidents survenant majoritairement le dimanche (60%), l’ASPAS réclame depuis des années une simple mesure de bon sens : l’arrêt de la chasse le dimanche. Plus de 260 000 signatures en faveur d’une trêve dominicale des fusils ont déjà été récoltées. Pourtant, notre requête a été rejetée par Nathalie Kosciusko-Morizet dans un courrier que nous recevions en début de mois. L’arrêt le mercredi, qui fut une victoire de la démocratie, a quant à lui été vite oublié…

L’ASPAS alerte l’opinion publique sur l’organisation laxiste et passéiste du système cynégétique français, et dénonce l’absence totale de législation et de réglementation sur les règles de sécurité liées à ce divertissement, pourtant très meurtrier. Les chasseurs représentent moins de 2 % de la population mais s’approprient la nature pendant 6 mois de l’année, au détriment de tous les autres. Il est donc indispensable que les mentalités et la législation évoluent !

La fermeture de la chasse le dimanche est donc aujourd’hui la seule manière de faire baisser significativement le nombre d’accidents de chasse et de permettre à tout citoyen de profiter sereinement de notre patrimoine naturel commun.

Notre association attend, encore et toujours, une prise de position énergique ainsi qu’une décision claire et immédiate du Gouvernement à ce sujet.

Contact presse : Pierre Athanaze - Président de l’ASPAS

Tel : 06 08 18 54 55

NB : L’ASPAS envoie gratuitement son dépliant « Stop à l’insécurité liée à la chasse» et un dossier de presse à tous les journalistes en faisant la demande (par mail, fax, courrier).