samedi 29 septembre 2012

Help us Stop the Irresponsible Killing


By this Sunday, most of Wyoming will be transformed into a free fire zone for wolves. We are leaving no stone unturned in our efforts to stop the killing before it begins.

Under current Wyoming state law, wolves in 85 percent of the state will be subject to unlimited and uncontrolled shooting, trapping and gassing starting at 12:01am September 30.

Please donate today -- your gift will help us keep up the fight to protect Wyoming wolves and other endangered wildlife.

Only weeks ago, Interior Secretary Salazar stripped Wyoming's wolves of Endangered Species Act (ESA) protection. It was pure politics. We have already served notice that we are filing a lawsuit against the federal government's removal of Endangered Species Act protection for Wyoming wolves.
But by the time our case is heard it will be too late for many of Wyoming's wolves, unless the State abandons its indefensible plan.
Up to 60 percent of Wyoming's wolf population could ultimately be wiped out.
The restoration of wolves in the lower 48 is one of the greatest success stories of the Endangered Species Act. The withdrawal of ESA protection and approval of an indefensible wolf management plan turns the clock back on decades of conservation progress.
We have already seen what can happen if the fate of wolves is turned over to states with extreme anti-wolf plans in place. The 2011 delisting of Idaho’s wolves was disastrous and deadly -- more than 400 of that state’s wolves were killed within the first year of delisting. And more than 100 of Montana’s wolves have met the same fate. Now Wyoming is poised to follow suit with an even worse wolf plan.

We need your support today to stop it.

No other animal has gone from protected wildlife to predatory “pest” status overnight -- until now. Under Wyoming’s plan, wolves that wander beyond the invisible border of the northwest corner of the state can be shot, gassed or trapped by anyone at any time. No license required. It’s open season on wolves, plain and simple.

No other animal -- not bears, not mountain lions -- are subject to the double standard that permits wolves across much of the state to be shot as vermin.
In only hours, Wyoming’s extreme wolf-killing plan will go into effect, and Defenders is calling on our supporters to shine the spotlight on this shameful management plan.  
Jamie Rappaport Clark
Sincerely,

Jamie Rappaport Clark
President
Defenders of Wildlife

lundi 24 septembre 2012

TESTS COSMÉTIQUES : MENACE SUR L'INTERDICTION

Source : http://www.gaia.be/fr/campagnes/petitions/tests-cosm-tiques-menace-sur-l-interdiction

Il nous avait fallu vingt années de combat pour qu'en 2003 soit adoptée par l’UE une interdiction partielle des tests sur les animaux effectués pour les produits cosmétiques, suivie par une interdiction totale à partir du 11 mars 2013, c.à.d. de tous les tests sur animaux pour l'industrie des produits cosmétiques commercialisés et leur mise sur le marché au sein de l'UE. Mais l'avenir de milliers d'animaux est aujourd'hui en danger. Un récent rapport officiel de la Commission européenne suggère de retarder de 10 ans cette interdiction totale. Instaurer une telle mesure signifierait que des lapins, des souris, des cochons d'Inde et des rats seraient soumis, jusqu'en 2023, à des expériences douloureuses, irritantes ou toxiques, puis sacrifiés par des sociétés commerciales pour des produits de beauté. Alerte ! L’interdiction des tests sur les animaux est menacée. Soutenez la nouvelle campagne de GAIA et de la Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale (ECEAE) « No Cruel Cosmetics »

MERCI DE SIGNER ET DE TRANSMETTRE A VOS CONTACTS !

Pol

mercredi 19 septembre 2012

PROTECTION DES LOUPS - STOP THE WAR ON WOLVES

Source : http://www.petitions24.net/v/9984945/7W3HQM


6 septembre 2012: Une louve abattue dans le massif des Monges.

Cette nouvelle atteinte à la protection des loups n’est pas acceptable.
Le loup est mal jugé et n'est pas une menace pour l'homme.

Le Loup, comme tout superprédateur, joue un rôle fondamental et unique au sein des écosystèmes.

Le loup contribue au maintien de la biodiversité.
Son rôle écologique est primordial d’où l’importance de le préserver.
Si le loup venait à disparaître, cela entraînerait des impacts négatifs sur d’autres animeaux indispensables à l’écosystème
mais aussi sur la végétation.
Pour la survie de cette planète que nous partageons, et le maintien de l'équilibre écologique, des mesures doivent être prises
d'urgence pour protéger les loups, et préserver leur environnement.

Merci de soutenir mon action. L'union sera notre force. A mes côtés faiites entendre la voix de votre révolte et de votre indignation.
Amicalement,
Jeanne Mas
Ma lettre à la Ministre de l'écologie Delphine Batho. http://www.jeannemas.com/#!protection-des-loups/c1w4l

English version.
Please help us to STOP THE WAR ON WOLVES.

WOLVES are NOT dangerous to PEOPLE.

These are desperate times for wolves, and they call for swift, powerful action.

The disappearance of species such as the wolf has led to international concern and cries for protection.

CONVINCED of the importance of the conservation, protection and enhancement of the environment in their territories and the essential role of cooperation in achieving a healthy and complete ecosystem for the well-being of present and future generations of all species and,

RECOGNIZING that wild animals, including the wolf, are an irreplaceable part of the earth's natural system,
We demand:

The RESTORATION and PROTECTION of wolves in America and in Europe.

Please help our action and save wolves. Write down your name and email address, then you’ll receive an email to confirm your signature. Your email address and name will be protected

Thank you.
Jeanne Mas

dimanche 16 septembre 2012

PETITION: We want the French, Mexican and United States Governments to increase the penalty for anyone using live animals as bait. Together we WILL put an end to this!


Source : http://www.causes.com/actions/1679274?recruiter_id=182323084&utm_campaign=invite&utm_medium=wall&utm_source=fb


To: The French, Mexican and United States Governments

We have to stop this PLEASE help!

French Islanders using live puppies and kittens as shark bait??

Please stop this senseless abuse to innocent puppies and kittens. French Islander, Mexican and yes American fishermen and hunters are using LIVE puppies and kittens as shark and alligator bait!!...See More

Thanks for signing the petition.

Can you help us reach our goal of 999,000 signatures?
Invite Friends
Because this is horrendous and hideous. Can you imagine the fear these animals must be in the last minutes of their lives? No living being deserves to be treated and used this way. These are private fishermen and the penalty is ONLY 2 years and a monetary fine of a little over $5,000 USD, we want the penalty to be stiffened to deter this horrific crime to 10 years in prison (no parole) and $100,000 fine.

Here is a video (it is in French) that shows the dog pictured is REAL, that this crime is real and it must be stopped worldwide. Please join this cause together we WILL put an end to using live animals as bait WORLDWIDE!
http://www.30millionsdamis.fr/acces-special/web-tv/agir/jugement-a-la-reunion.html

vendredi 14 septembre 2012

Le Loup et José Bové

Voici ce qu'avait dit José Bové le 18/07/2012 sur :

http://www.radio-totem.net/actualite/journal/all/article-60149-loup-en-lozere-la-position-de-jose-bove/?page=&filtre=

Vous pouvez y écouter son intervention et enregistrer le fichier audio. Ses propos sont on ne peut plus clairs !

A comparer avec l'article paru sur le page "Loup"

Chacun en pensera ce qu'il voudra.



jeudi 13 septembre 2012

Sentience des animaux : Sensibilité et conscience des animaux sauvages


Source : http://www.one-voice.fr/sentience/sentience-des-animaux-sensibilite-et-conscience-des-animaux-sauvages/

Sentience des animaux : Sensibilité et conscience des animaux sauvages

Qu’ils soient grands singes, éléphants ou même oiseaux, les animaux sauvages sont doués d’une intelligence restée longtemps méconnue. Chaque nouvelle découverte scientifique vient brouiller un peu plus la frontière factice que certains ont tenté de tracer entre les humains et le règne animal. Bientôt, il faudra accepter d’y faire face et remettre en question nos pratiques – souvent discutables – qui leurs causent tant de souffrance…
Une évasion réfléchie
Une anecdote concernant les grands singes suggère cette conclusion : « Si l’on donne un tournevis à un chimpanzé, il le lancera à quelqu’un. Si l’on donne un tournevis à un gorille, il se grattera avec. Mais si l’on donne un tournevis à un orang-outan, il se libérera de sa cage. »
Dans un zoo australien, en mai 2009, une femelle orang-outan de 27 ans nommée Karta s’est évadée de son enclos en faisant preuve d’une ingéniosité remarquable. Karta a provoqué un court-circuit dans la clôture électrique en tordant les fils à l’aide d’un bâton, puis elle a entassé des débris et des branchages pour pouvoir grimper sur un mur de béton et de verre. Le zoo a été évacué et les gardiens, armés de fusils à cartouches anesthésiantes, se sont préparés à lui tirer dessus. Mais après avoir goûté à un moment de liberté, Karta a pris un air penaud, comme si elle savait qu’elle avait fait quelque chose de mal, et elle est retournée dans son enclos.
Pour le responsable du zoo, Paul Whitehead, l’évasion de Karta est la preuve de son intelligence : elle « a souvent essayé d’être plus maline [que nous] et elle a obligé de nombreux gardiens à effectuer des heures supplémentaires ». Il ajoute que son enclos aurait maintenant besoin d’être « élagué » !
La fabrication d’outils à l’état sauvage
Les responsables des zoos s’efforcent de recréer au sein des enclos un habitat naturel et attrayant pour des animaux comme Karta. Mais il est difficile de satisfaire les besoins d’individus ayant des facultés cognitives aussi développées.
À Sumatra, les orangs-outans à l’état sauvage ont l’habitude d’utiliser des outils pour des raisons variées : ils cassent un rameau, en ôtent les brindilles sur toute sa longueur, en effilent l’extrémité et l’enfoncent dans les termitières pour en retirer le contenu. Ils se servent aussi de bâtons pour récolter du miel ou pour ôter les fibres rêches autour d’un fruit avant de le manger. Dans les zoos, on voit souvent les gorilles utiliser des outils, notamment des bâtons, pour atteindre ou récolter quelque chose. Ils s’en servent aussi comme armes. Ils mâchonnent des feuilles pour en faire des éponges et se servent de gros bâtons comme de barreaux d’échelle. Les chimpanzés se servent même d’armes quand ils chassent des petits mammifères.
La fabrication d’outils était autrefois considérée comme une caractéristique humaine. Mais plusieurs espèces fabriquent des outils, notamment les corbeaux de Nouvelle-Calédonie. Une étude publiée en mai 2009 dans les comptes-rendus de la revue de l’Académie nationale des Sciences américaine rend compte d’observations concernant quatre corbeaux freux maintenus en captivité à l’université de Cambridge. Ces corbeaux ont confectionné des crochets pour attraper des vers dans un tube. Ils ont aussi su choisir des cailloux ayant une taille adaptée pour passer à travers des tuyaux de diamètres variés et faire ainsi basculer une plate-forme libérant de la nourriture. L’auteur principal de cette étude, Christopher Bird, a déclaré : « Nous avons constaté qu’ils étaient capables de choisir parmi une diversité d’outils ceux qui étaient les plus appropriés et qu’ils faisaient preuve de souplesse dans les types d’outils utilisés (1). »
Alex Kacelnik, professeur d’écologie comportementale à l’université d’Oxford a mené des recherches sur l’utilisation des outils chez les corbeaux de Nouvelle-Calédonie. Selon lui, le fait que l’on observe ce type de comportement exceptionnel chez des oiseaux est révélateur. « Cela signifie que l’évolution peut inventer plus d’une fois des formes similaires d’intelligence poussée : ce n’est pas une chose réservée aux seuls primates ni aux seuls mammifères. »
portrait d'un corbeau (photo 1)
Joie et peine
Des études scientifiques ont également montré que les animaux éprouvaient des émotions, y compris celles auparavant considérées comme exclusivement humaines telles que la joie, l’amour et la peine. Joyce Poole, spécialiste des éléphants, a fait état d’une mère ayant perdu son nouveau-né : « En observant la façon dont Tonie veillait sur son nouveau-né mort, j’ai eu pour la première fois la conviction que les éléphants pleuraient. Je n’oublierai jamais l’expression de son visage, ses yeux, sa bouche, la position de ses oreilles et de sa tête et sa posture. Tout, en elle, indiquait le chagrin. »
Selon Poole, « il est difficile d’observer le comportement remarquable des éléphants » lors de retrouvailles en famille, d’une naissance ou d’un accouplement « sans imaginer qu’ils éprouvent des émotions très marquées qu’on ne saurait mieux qualifier qu’en utilisant les termes de joie, de bonheur, d’amour, d’amitié, d’exubérance, d’amusement, de plaisir, de compassion, de soulagement et de respect. »
En août 2008, le chagrin de Gana, une femelle gorille du zoo de Münster, en Allemagne, a tiré des larmes au public. Son fils âgé de trois mois, Claudio, est mort dans ses bras. Pendant des heures, Gana l’a porté, l’a bercé et lui a donné des petits coups, peut-être dans l’espoir de pouvoir redonner du mouvement à sa tête pendante et à ses bras ballants. Une Britannique a écrit ce commentaire en ligne : « D’une mère endeuillée à une autre : Gana, tu es dans mes pensées. Mon petit garçon est mort en juin dernier et c’est une chose qu’on ne pourrait souhaiter à aucune forme de vie. »
Comprendre un langage et s’en servir
Des éléments probants indiquent que dans leur utilisation de symboles pour communiquer, les animaux montrent une réelle compréhension. Koko, une femelle gorille élevée en captivité, a appris des milliers de mots anglais. Elle a le niveau mental d’un enfant de trois ans. Koko a obtenu 70-95 à des tests de QI conçus pour les enfants humains et s’est montrée capable d’inventer de nouveaux signes pour dire par exemple « mordre », « chatouiller » ou « stéthoscope ». Elle est capable de dire quels sont les mots qui riment ensemble. Elle comprend l’ordre des mots lorsque cet ordre est indispensable à la compréhension de la phrase, et elle est capable de décrire ses propres émotions : un jour, ayant mordu quelqu’un, elle a semblé s’excuser en formant par signes les messages « mal mal » et « désolée mordre égratignure » (2) .
Alex, un perroquet gris du Gabon (3) auquel Irene Pepperberg a consacré ses travaux pendant trente ans, savait distinguer et utiliser des catégories de matériaux, des couleurs, des formes et des nombres. Quand on lui montrait deux nouveaux objets, il était capable d’indiquer lesquelles de leurs propriétés étaient semblables ou différentes (p.ex. la couleur, la forme, la matière). Selon Irene Pepperberg, les capacités émotionnelles d’un perroquet gris seraient celles d’un enfant humain de deux ans et demi, et ses capacités cognitives celles d’un enfant de cinq ans, un fait important à prendre en compte avant d’en acheter comme animal de compagnie car selon elle, « c’est comme acheter un petit enfant »…
portrait d'un perroquet (photo 2)
La tromperie chez les animaux
Le recours à la tromperie chez les animaux est la preuve qu’ils ont conscience d’eux-mêmes et du fait que les autres animaux puissent croire et avoir des intentions. Frans de Waal, professeur de psychologie à l’Université d’Emory à Atlanta, aux États-Unis, a décrit dans ses ouvrages Chimpanzee Politics et Good-Natured la façon dont les grands singes usaient de tromperie entre eux en changeant d’expression faciale, en faisant celui qui ne remarque rien quand un autre individu met leurs nerfs à l’épreuve en tentant de les intimider, ou en dissimulant une relation sexuelle à l’approche d’un mâle dominant. Les chimpanzés recourent aussi à la tromperie vis-à-vis d’un rival quand une agression n’a pas réussi, en simulant une attitude bienveillante, en faisant des gestes de conciliation puis en mordant leur victime avec férocité une fois qu’elle est à leur portée.
La moralité chez les animaux
Les travaux de Frans de Waal ont aussi mis récemment en évidence le fait que certains animaux comprennent la notion d’équité. Après avoir réussi des tâches simples, des singes et des grands singes ont reçu des récompenses constituées de quantités de nourriture variées. Ils ont protesté avec force à chaque fois que d’autres étaient mieux récompensés qu’eux pour avoir réussi les mêmes tâches. À maintes reprises, les singes défavorisés ont boudé et ont refusé de participer plus longtemps aux expériences…
D’autres travaux ont mis en évidence des exemples de comportement altruiste chez les chimpanzés. Ces derniers sont capables d’aider des humains et de s’entraider spontanément, même en l’absence de toute récompense. D’autres travaux ont montré que les primates se souvenaient des individus qui les avaient bien traités et qu’ils s’efforçaient de le leur rendre.
« Je n’affirme pas que les primates non humains sont de
s êtres moraux, explique De Waal, mais on a suffisamment de preuves que d’autres espèces que la nôtre adhèrent à des règles sociales pour pouvoir admettre que certains éléments constitutifs de la moralité humaine sont présents chez eux.
Des êtres sensibles dont l’exploitation par les humains pose un problème
Le fait que la science nous apporte sans cesse de nouvelles informations sur les espèces non humaines devrait être lourd de conséquences sur la manière dont les humains les traitent. Peut-on garder ces espèces – des êtres sensibles qui pensent, qui sentent et qui, dans une plus ou moins large mesure, ont des émotions semblables aux nôtres – en captivité dans des zoos et dans des laboratoires ?
Comme l’explique Eleonor Boyle dans une étude sur les neurosciences et la sensibilité des animaux publiée en 2009, « paradoxalement, un certain nombre de travaux démontrant que les animaux sont sensibles et conscients ont été réalisés en utilisant des animaux en captivité, entre autres des primates. Les résultats de ces travaux soulèvent des questions concernant l’exploitation des animaux par les humains, dans la recherche comme dans d’autres domaines tels que l’agriculture. Les conclusions auxquelles on parvient suggèrent le besoin de trouver des méthodes scientifiques qui ne soient pas autant dépendantes de l’utilisation de sujets animaux et soulignent la nécessité d’une attention accrue à la sensibilité des animaux (4) . »
AGIR
Pour nous aider à alerter le public quant au sort des animaux et initier un changement de comportement à leur égard, vous pouvez commander et diffuser autour de vous nos cartes sur la Sentience des animaux.
Gorille allongé dans lajungle (photo 1)

(1) Voir la vidéo à l’adresse: http://www.admin.cam.ac.uk/news/dp/2009052603
(2) Voir : www.koko.org
(3) Alex est mort en 2007, à l’âge de 31 ans. www.alexfoundation.org
(4) Boyle, E. (2009) Neuroscience and Animal Sentience www.animalsentience.com


1/ Comprendre la sentience des animaux
2/ La sentience des animaux : des invertébrés aux vertébrés
3/ La sentience des animaux de ferme
4/ La sentience des animaux sauvages

mercredi 12 septembre 2012

Prominent scientists sign declaration that animals have conscious awareness, just like us


Source : http://io9.com/5937356/prominent-scientists-sign-declaration-that-animals-have-conscious-awareness-just-like-us